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Février
Nouveau protocole février 2021-variants
Par Florence Cavot • Publié le 15/02/2021
Par Florence Cavot • Publié le 15/02/2021
En raison de l’émergence de variants et à la demande des autorités sanitaires, les règles d’identification des contacts à risque ont évolué.
Désormais, l’apparition d’un cas confirmé parmi les élèves en école maternelle conduit à identifier comme contacts à risque tous les élèves de la même classe. La classe fermera durant 7 jours.
A l’école élémentaire, ce sont désormais les même règles qui s’appliquent que dans le second degré, avec une recherche des contacts à risque dès le premier cas confirmé. De plus, un test négatif sera désormais attendu pour les élèves de l’école élémentaire identifiés comme contact à risque afin de permettre un retour à l’école.
Par ailleurs, les autorités sanitaires ont souhaité que l’apparition d’un cas de variant britannique ne déclenche plus automatiquement la fermeture de la classe compte tenu de la large circulation de ce variant sur le territoire.
Elles ont également précisé les règles applicables aux personnels en cas d’apparition de trois cas confirmés dans une classe, ainsi que la conduite à tenir en cas d’apparition d’un cas confirmé ou d’un cas porteur d’un variant sud-africain ou brésilien (ou d’un cas contact partageant le foyer d’un cas confirmé porteur de ces variants).
Restauration scolaire :
Les élèves et les personnels continuent de réaliser une hygiène des mains correcte et fréquente, au minimum en entrant et en sortant du lieu de restauration. Au collège et au lycée, il peut être mis à leur disposition des distributeurs de produit hydroalcoolique dans des endroits facilement accessibles et au minimum à l’entrée du réfectoire (et dans la mesure du possible à la sortie).
Les personnels ainsi que les élèves de l’école élémentaire, les collégiens et les lycéens portent un masque « grand public » de catégorie 1 pendant leurs déplacements. Le port du masque est obligatoire même lorsqu’ils sont assis, tant qu’ils ne consomment pas un plat ou une boisson.
Une aération ou une ventilation des espaces de restauration doit être fréquemment assurée, tout en évitant des flux d’air horizontaux dirigés vers les personnes. Il est préconisé de contrôler le renouvellement de l’air, par exemple par l’utilisation de capteurs de CO2.
Conformément au principe de limitation du brassage entre groupes d’élèves, requis par le protocole du 2 novembre 2020 et par les textes réglementaires, le balisage des sens de circulation, des éventuels espaces d’attente et de la distanciation à respecter doit être mis en place.
Les plages horaires et le nombre de services sont adaptés de manière à limiter les flux et la densité d’occupation et à permettre la limitation du brassage. Dans la mesure du possible, les entrées et les sorties sont dissociées. Les assises sont disposées de manière à éviter d’être face à face voire côte à côte (par exemple en quinconce) lorsque cela est matériellement possible.
Les tables du réfectoire sont nettoyées et désinfectées, a minima, après chaque service et, si possible, après chaque repas.
Mesures relatives à la distanciation et au brassage
Les espaces sont aménagés et l’organisation conçue de manière à rechercher la plus grande distanciation possible entre les élèves. Le maintien d’une distanciation de deux mètres entre les tables, entre les élèves de groupes différents est requis. La stabilité des groupes est recherchée et, dans la mesure du possible, les mêmes élèves déjeunent tous les jours à la même table.
Dans le premier degré, le non brassage entre élèves de classes différentes doit impérativement être respecté. Les élèves d’une même classe déjeunent ensemble en maintenant une distanciation d’au moins deux mètres avec ceux des autres classes. La stabilité des groupes d’élèves déjeunant à une même table est privilégiée.
Désormais, l’apparition d’un cas confirmé parmi les élèves en école maternelle conduit à identifier comme contacts à risque tous les élèves de la même classe. La classe fermera durant 7 jours.
A l’école élémentaire, ce sont désormais les même règles qui s’appliquent que dans le second degré, avec une recherche des contacts à risque dès le premier cas confirmé. De plus, un test négatif sera désormais attendu pour les élèves de l’école élémentaire identifiés comme contact à risque afin de permettre un retour à l’école.
Par ailleurs, les autorités sanitaires ont souhaité que l’apparition d’un cas de variant britannique ne déclenche plus automatiquement la fermeture de la classe compte tenu de la large circulation de ce variant sur le territoire.
Elles ont également précisé les règles applicables aux personnels en cas d’apparition de trois cas confirmés dans une classe, ainsi que la conduite à tenir en cas d’apparition d’un cas confirmé ou d’un cas porteur d’un variant sud-africain ou brésilien (ou d’un cas contact partageant le foyer d’un cas confirmé porteur de ces variants).
Restauration scolaire :
Les élèves et les personnels continuent de réaliser une hygiène des mains correcte et fréquente, au minimum en entrant et en sortant du lieu de restauration. Au collège et au lycée, il peut être mis à leur disposition des distributeurs de produit hydroalcoolique dans des endroits facilement accessibles et au minimum à l’entrée du réfectoire (et dans la mesure du possible à la sortie).
Les personnels ainsi que les élèves de l’école élémentaire, les collégiens et les lycéens portent un masque « grand public » de catégorie 1 pendant leurs déplacements. Le port du masque est obligatoire même lorsqu’ils sont assis, tant qu’ils ne consomment pas un plat ou une boisson.
Une aération ou une ventilation des espaces de restauration doit être fréquemment assurée, tout en évitant des flux d’air horizontaux dirigés vers les personnes. Il est préconisé de contrôler le renouvellement de l’air, par exemple par l’utilisation de capteurs de CO2.
Conformément au principe de limitation du brassage entre groupes d’élèves, requis par le protocole du 2 novembre 2020 et par les textes réglementaires, le balisage des sens de circulation, des éventuels espaces d’attente et de la distanciation à respecter doit être mis en place.
Les plages horaires et le nombre de services sont adaptés de manière à limiter les flux et la densité d’occupation et à permettre la limitation du brassage. Dans la mesure du possible, les entrées et les sorties sont dissociées. Les assises sont disposées de manière à éviter d’être face à face voire côte à côte (par exemple en quinconce) lorsque cela est matériellement possible.
Les tables du réfectoire sont nettoyées et désinfectées, a minima, après chaque service et, si possible, après chaque repas.
Mesures relatives à la distanciation et au brassage
Les espaces sont aménagés et l’organisation conçue de manière à rechercher la plus grande distanciation possible entre les élèves. Le maintien d’une distanciation de deux mètres entre les tables, entre les élèves de groupes différents est requis. La stabilité des groupes est recherchée et, dans la mesure du possible, les mêmes élèves déjeunent tous les jours à la même table.
Dans le premier degré, le non brassage entre élèves de classes différentes doit impérativement être respecté. Les élèves d’une même classe déjeunent ensemble en maintenant une distanciation d’au moins deux mètres avec ceux des autres classes. La stabilité des groupes d’élèves déjeunant à une même table est privilégiée.